II-LA CONNAISSANCE DE DIEU
Du latin « cum » et « nascere » ou connaitre. Connaître, c’est naitre avec. Avant de connaitre Dieu, il faut, premièrement, que nous naissions de lui ou avec Lui. Deuxièmement, nous devons avoir une communion importante voir sincère avec notre Créateur. C’est uniquement par-là que nous pouvons savoir ce qu’il aime ou non, comment il nous parle, nous corrige, nous conseille, nous dirige.
La relation personnelle avec Dieu implique les éléments suivants :
Avoir une expérience personnelle avec Dieu
Par exemples :
*Jacob : Genèse 28, 20-22
*Samuel : 1 Samuel 3, 7, 10, 19-21
*David : 1 Samuel 17, 33-37
- S’attacher à la Parole de Dieu, l’aimer et la méditer
Par exemples :
*Josué : Josué 1, 7-8
*David : Psaume 119, 11, 105
*Psaume 1, 2-3
Ceci nous permet de savoir qui est Dieu, de discerner sa volonté.
La méditation de la Parole nous unit plus à Dieu. Sans la Parole, la méditation de sa Parole nous succombons à la tentation, nous faisons un mauvais choix, faute de discernement. Par elle, nous sommes éclairés dans toute chose en tout et surtout dans le parcours du Choix. Nous craignons Dieu.
Le temps de prières permet au chrétien de dialoguer avec Dieu et il l’aide à apprendre à l’écouter.
A travers le temps du Culte Personnel, nous nous rapprochons plus de Dieu et cultivons avec lui une relation plus personnelle, plus intime.
La connaissance de Dieu, nous amène à le craindre, à placer en lui toute notre confiance et à ne pas nous fier à notre propre intelligence, à notre volonté ; Elle nous amène aussi à nous appuyer sur lui dans toutes nos entreprises – Proverbes 3, 5-8.
III- RECHERCHER LE ROYAUME DE DIEU ET SA JUSTICE
Matthieu 6, 33
Après la naissance d’En-haut dans la vie de tout homme, il est important de se laisser entièrement entre les mains de Dieu. Ici, l’on doit confier à l’Eternel tout ce qui nous concerne et surtout rechercher la vie sainte dans la justice divine. C’est dire aussi que nous sommes appelés à nous occuper des œuvre de Dieu, à lui plaire dans toute notre conduite et à marcher de progrès en progrès en Christ Jésus.
Dans ce deuxième chapitre à travers les conditions citées, il est important de souligner que Dieu est souverain et qu’il tient compte du degré de foi de chacun, du niveau spirituel de son enfant pour agir, pour accomplir l’œuvre du Choix dans sa vie.
A la lumière du Chapitre premier, le choix du conjoint est une réalité, même une vérité. Le cas d’Isaac et de Rebecca ne laisse place à aucun doute. La vérité sur ce couple biblique et leur cas font appel et répondent à quatre grandes questions importantes : Qui choisit le conjoint ou la conjointe ? Qui choisit-il pour le chrétien ou pour la chrétienne ? Quand choisit-il et Comment choisit-il ?
Plusieurs ont voulu s’engager dans ce chemin sans comprendre l’importance que revêtent ces questions, ni la portée de celles-ci.
Les conséquences sont : le découragement, l’erreur, la chute, la désobéissance à Dieu et la volonté propre au détriment de celle de Dieu. Il est important de souligner que Dieu n’est pas un homme pour mentir. Il demeure nécessaire d’être dans sa volonté pour le salut de notre âme, pour un bonheur venant de Lui voire pour une paix durable dans le foyer conjugal.
A SUIVRE