III-JESUS ATTESTE LE DON DE LA DÎME ET IL DIT LE COMMENT : PASSAGES BIBLIQUES DU NOUVEAU TESTAMENT MENTIONNANT LE DON DE LA DÎME.
d- La Dîme de Dieu pour rassasier les sacrificateurs et le surplus pour les fournir des éléments pour la maison de Dieu. 2CHRONIQUES 31, 9-11.
Dieu veut que son peuple soit fidèle à la dîme afin que lui l’Eternel s’occupe de rassasier ses serviteurs afin qu’ils aient de quoi manger. Le surplus considérable servira à entretenir la maison de Dieu : « 9 Ézéchias interrogea les sacrificateurs et les Lévites au sujet de ces tas. 10 Alors le souverain sacrificateur Azariahou, de la maison de Tsadoq, lui répondit : Depuis qu’on a commencé d’apporter le prélèvement dans la maison de l’Éternel, il y a eu de quoi manger et se rassasier, tout en laissant un surplus considérable, car l’Éternel a béni son peuple ; quant au surplus, c’est cet amoncellement que voici.11 Ézéchias ordonna de préparer des chambres dans la maison de l’Éternel ; et on les prépara. »
III-JESUS ATTESTE LE DON DE LA DÎME ET IL DIT LE COMMENT : PASSAGES BIBLIQUES DU NOUVEAU TESTAMENT MENTIONNANT LE DON DE LA DÎME.
MATHHIEU 23, 23 « Malheur à vous, scribes et Pharisiens hypocrites ! Parce que vous payez la dîme de la menthe, de l’aneth et du cumin, et que vous laissez ce qu’il y a de plus important dans la loi : le droit, la miséricorde et la fidélité ; c’est là ce qu’il fallait pratiquer sans laisser de côté le reste. »
Dans ce passage, Jésus ne remet pas en cause le don de la dîme par ceux qui sont les croyants ou ceux qui veulent le suivre. La fin du verset 23 l’atteste et le confirme : « c’est là ce qu’il fallait pratiquer sans laisser de côté le reste. » Jésus ne nous demande pas de laisser de côté le reste symbolisé par le payement des dîmes : la dîme de la menthe, de l’aneth et du cumin. Par contre, il s’indigne contre l’hypocrisie de ceux qui accomplissent ce commandement divin en oubliant les valeurs et les vertus essentielles que sont le droit, la miséricorde et la fidélité. Ils insistent que ces vertus sont premières pour toute personne qui est un enfant de Dieu ou qui paye la Dîme. Le don de la dîme ou le payement de la Dîme doit s’accompagner d’un cœur de droiture, de miséricorde et de fidélité.
Droiture : par obéissance à un ordre divin
Miséricorde : avec amour et compassion vis-à-vis de l’autre
Fidélité : Ne pas tricher, voler et être constant. Cf. Luc 11, 42
IV-LA VERITE SUR LA DÎME
1- Le don de la dîme comme un privilège...