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DOCTEUR HENRI KPODAHIla femme dans tout ce qu’elle voudrait faire cherchera la volonté de la première autorité de Dieu qui est toujours présent dans le couple même en l’absence de l’homme. L’on comprend pourquoi dans le jardin Eve n’a pas assuré du tout en l’absence d’Adam. Il a suffi qu’elle se retrouve seule sans son époux pour que le serpent s’invite pour l’amener à ne pas faire la volonté de Dieu. Elle a oublié, avant de manger le fruit de l’arbre défendu ou d’accepter la proposition du serpent, d’en parler d’abord à son époux, de le consulter lui la deuxième autorité spirituelle du couple, bien plus de consulter Dieu la première autorité du couple.
Il est de même pour l’homme. L’absence de son époux n’est pas l’absence de Dieu dans la vie du couple. L’absence de la femme n’est pas synonyme de tout faire sans lui en parler. En effet, l’ennemi ou les ennemis du couple se saisiront de la moindre occasion pour amener la femme à opter pour une autre vision différente de celle du couple.
La forme et le contenu de la communication permet à l’époux de penser à l’épouse et vice versa. Ils laissent des traces, des souvenirs, le son de la voix. Ils rendent présent l’autre en détruisant la distance. Penser à l’autre le rend vivant et présent. Ne plus le faire, c’est l’oublier et surtout laisser la pensée d’une autre personne, d’un autre fait, d’une autre chose, d’une autre situation, d’un autre homme ou d’une autre femme, de sa famille, de ses amis s’installer pour détruire le couple et son unité.
La façon de communiquer ...A SUIVRE