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                      DOCTEUR PASTEUR HENRI KPODAHI                
   ID002012   

II- LA GUERISON DIVINE

2- La Guérison divine SUITE 2

La foi fortifie et affermit et la crainte démoralise et détruit. Job 3:25 Plusieurs chrétiens se permettent d’être contrôlés par leurs émotions plutôt d’être certains de les contrôler. Ainsi chaque petit désappointement ou renversement de situation les plonge dans la tristesse et le désespoir. Le projet de Dieu en Jésus-Christ n’est plus la domination du chrétien par ses émotions par son âme. Les attitudes de l’âme telles que l’anxiété, l’insécurité, les introspections malsaines, la tension nerveuse, la jalousie, les frustrations, la colère; le pessimisme sont des forces destructives qui détruisent la bonne santé si elles ne sont pas contrôlées. Elles causent plusieurs maladies comme l’hypertension, les problèmes cardio-vasculaires, les maladies de la circulation sanguine, l’asthme, les ulcères de l’estomac et les maux de tête chroniques.

Les psychologues et les psychiatres cherchent à calmer, à aider les puissances naturelles de l’âme en se servant de médicaments et en participant à des conseils pour aider les malades. Mais, il y’a des problèmes physiques, des maladies de l’âme qui ne peuvent pas être assistées par des moyens naturels. La restauration de l’âme est rendue possible par Jésus-Christ, celui par qui l‘âme humaine a été faite.

En clair, traiter une maladie sur son seul aspect physique en écartant sa dimension spirituelle  est une erreur grave. Le problème du malade n’est résolu qu’à moitié. La médecine moderne soigne, elle soulage le malade mais elle ne le guérit pas totalement. En réalité, il reste toujours des éléments cachés non visibles à traiter. Le fait de couvrir la guérison spirituelle d’un malade par sa guérison physique ne résout pas intégralement sa situation sanitaire. Il est aussi dangereux pour un malade de cacher à tous sur fond de mensonge, de « pseudo-excuse » ce dont il souffre. La solution la meilleure pour elle et sa progéniture c’est d’accepter la guérison spirituelle. Dans la société actuelle, dans les services, les bureaux, les Églises, les maisons, les familles, on constate qu’il y a plusieurs personnes qui ont passé leur temps à présenter un autre visage à leur prochain, à leur époux ou épouse, à leurs enfants, à leurs familles, à leurs collègues de service, à leur pasteur, à leur supérieur. Il urge que ces masques tombent et que les personnes souffrantes entrent dans une démarche de guérison totale. Ces dernières doivent arrêter dormir et de se lever sur ces circonstances douloureuses, ces situations traumatisantes, sur ces blessures, ces maladies cachées. Cet « héritage caché » les amène à vivre une vie autre, il les conduit à ne pas expérimenter la paix profonde. Entrer dans la dimension divine de la guérison c’est se préserver et ne pas exposer sa vie, son santé, son couple, ses enfants et au-delà toute sa descendance.

         De tout ce qui précède, il revient maintenant à tout homme, à tout chrétien au lieu de se limiter uniquement à la compréhension physique d’une maladie de se poser la question sur sa portée spirituelle. La maladie d’un homme, d’une femme ou d’un enfant peut durer, aussi longtemps qu’il n’en a pas été guéri spirituellement. Derrière toute maladie se cachent des conséquences psycho-spirituelles. Ces conséquences déterminent au quotidien la volonté, l’attitude, l’acte, les choix, les décisions, le comportement, la vie des victimes et de leurs descendances. Elles conditionneront ...

   
                           
                                     
SOYEZ TOUJOURS JOYEUX,PRIEZ SANS CESSE..1THESSALONICIENS 5, 16-17
Rédaction :Docteur Pasteur Henri KPODAHI.
 
MINISTERE MIDEGUE
Tag(s) : #ENSEIGNEMENT
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