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 DOCTEUR DAVID YONGGHI CHO 5    

Passage biblique : JEAN 2, 1-11

Frères et soeurs, alors que l’homme tient à vivre par ses propres intelligences, ses propres connaissances et ses propres obstinations, il ne veut pas accorder le moment de l’intervention de Dieu. Ainsi l’homme ne pourra recevoir l’aide de Dieu, malgré que Dieu soit à proximité de lui. Mais si l’homme échoue et subit des souffrances et des difficultés, il lui arrive le moment favorable de Dieu. Dieu porte donc la responsabilité de lui, parce qu’il s’approche de Dieu en comprenant ses faiblesses et ses difficultés.

Malgré Jésus dit : « Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos », avant que l’homme fatigué et chargé ne puisse venir à Jésus, il doit avouer à Jésus qu’il ne peut plus porter son fardeau, étant terriblement blessé et ayant subi beaucoup de difficultés. Autrement dit, il faut que soient dans un cul-de-sac tous ses moyens, toutes ses méthodes, toutes ses connaissances. L’homme doit venir à Dieu en se rendant, et en disant : « Viens à moi, Dieu, mon Sauveur ! Si Dieu m’accueille froidement, où vais-je ? »

Mais quand est-ce que Dieu le traite mal ? Au contraire, il accueille froidement Dieu. Ainsi, lorsque l’homme vient à Dieu en levant ses mains, étant blessé et ayant subi beaucoup de difficultés, Dieu peut acquérir l’occasion d’intervenir pour lui.

Jacob était un homme de ce genre. Et il avait la foi. Mais il voulut utiliser toujours Dieu. Il ne fit pas abnégation de soi-même pour Dieu, il ne recourut qu’à Dieu quand il avait                                                besoin de son aide. Et il le considérait comme un être profitable. Jacob savait bien que l’Eternel est Dieu vivant, Tout-Puissant, Dieu omniscient et omnipotent et Père éternel. Mais il ne le considérait pas comme son Seigneur, et il ne vivait pas comme un homme dévoué devant Dieu en se sacrifiant complètement à lui. C’est pourquoi il avait dû passer le gué de Jabbok par de rudes éprouves en se brisant en morceaux.

Nous pouvons trouver même phénomène au banquet des noces de Cana dans le Nouveau Testament. Il y eut des noces à Cana en Galilée. Les jeunes mariés invitèrent vivement beaucoup de gens. La mère de Jésus était là, et Jésus fut aussi invité aux noces avec ses disciples. Alors que les invités se montèrent jovial, le vin manqua. Lors des noces des Juifs, si le vin manquait, ces noces échoueraient. Les invités crièrent à ces jeunes mariés d’apporter du vin, mais le vin manqua. Et ceux-ci n’eurent pas le temps d’en procurer. Ils se trouvèrent donc dans une situation embarrassante. Leur rêve se brisa complètement. Les gens commencèrent déjà à avoir du ressentiment. Pourquoi invitaient-ils tant d’invités ? Pourquoi ne donnaient-ils pas raisonnablement du vin aux invités par rapport à sa provision ?

Qui était responsable ? Nouveau marié ou nouvelle mariée ? Nouveau marié était-il pauvre ? Nouveau marié en voulut à nouvelle mariée et cette dernière en voulut à ce premier. Le conflit surgit entre eux. Ils se heurtèrent ainsi à la crise ; et le rêve heureux des noces se brisera en morceau. En ce moment ils vinrent discuter de l’affaire avec la mère de Jésus ; Marie, mère de Jésus, vint alors directement trouver Jésus et lui dit : « Ils n’ont plus de vin, donc ce banquet des noces va échouer. Nouveaux mariés sont en train de pleurer, leurs familles en veulent à l’un l’autre et le grand conflit va surgir entre eux. Aide-les, s’il te plaît ! » Mais Jésus lui répondit : « Femme, qu’y a-t-il entre moi et toi ? Mon heure n’est pas encore venue. »

Ce que Jésus pensait d’ici, c’est que s’il lui disait que « oui ! » ; on croirait désormais qu’il faudra demander à Marie pour recevoir l’aide de Jésus ; Et on aurait peut-être la foi injuste. C’est parce qu’il disait ainsi à sa mère. Comme Christ, Souverain absolu, il pouvait décider de transformer de l’eau en vin ou pas. Telle décision appartenait tout à fait à lui, et non pas à sa mère. Jésus voulait donc défendre son autorité. Marie le savait. Elle savait que Jésus va accomplir un miracle de Dieu en profitant du moment où les hommes étaient déçus ; elle disait ainsi aux serviteurs : « Faites ce qu’il vous dira. » En ce moment, le banquet des noces fut momentanément interrompu. Les gens crièrent à nouveaux mariés d’apporter du vin.

Mais l’approvisionnement du vin ne fut plus là ! Toutes les choses semblèrent désespérées. Là où il y avait là six vases de pierre, destinés aux purifications des Juifs, Jésus dit aux serviteurs : « Remplissez d’eau ces vases. Et ils les remplirent jusqu’au bord. Puisez maintenant, leur dit-il, et portez-en à l’ordonnateur du repas. » Il leur sembla étrange : « Si nous lui en portons, qu’est-ce qui se passera ? » Or donc, ils lui en portèrent. L’ordonnateur du repas eut goûté l’eau changée en vin et lui sembla le bon vin, et il le distribua aux invités.

De nouveau, les invités éprouvèrent du plaisir. Le visage de nouvelle mariée, baigné de larmes, se changea en visage souriant. Et nouveau marié éclata de rire et fut devenu vif. Toutes les familles se réjouirent. L’ordonnateur interrogea l’époux : « Tout à l’heure, tu as dit qu’il n’y a plus de vin. Mais qu’est-ce qui s’est passé ? A SUIVRE  

                         
SOYEZ TOUJOURS JOYEUX,PRIEZ SANS CESSE..1THESSALONICIENS 5, 16-17
Rédaction :Docteur Pasteur Henri KPODAHI.
 
Tag(s) : #ENSEIGNEMENT
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