Dans l’écoute, ne pas automatiquement réagir quand Dieu ne vous donne pas l’ordre de combattre ou d’agir immédiatement par une prière de délivrance. Malgré les manifestations, Jésus ne commence pas à prier pour l’enfant. Il continue de poser des questions...suite ci-dessous.
A-CAS N° 1 Le père et son enfant Epileptique.
ETUDE COMMENTEE DU TEXTE DE Mc 9, 14-29
Jésus demande d’amener l’enfant. On le lui amena. Lorsque vous donnez des instructions à des personnes il est nécessaire voir indispensable qu’ils suivent à la lettre les recommandations du Tout-Puissant.
Aussitôt que l’enfant voit Jésus, l’esprit est en lui réagit. En effet, il a vu qui était la personne en face de lui, celle appelée à délivrer l’enfant. La vision est le deuxième sens mais le premier sens fondamental dans toute délivrance. Il est important de regarder dans les yeux du patient et son comportement, son attitude, son désir, sa volonté d’être guéri ou délivré.
Nous voyons les manifestations ou les symptômes qui viennent confirmer le cas de cet enfant :
l’esprit le fait entrer en convulsions.
il tomba par terre.
il se roule en écumant.
Dans l’écoute, ne pas automatiquement réagir quand Dieu ne vous donne pas l’ordre de combattre ou d’agir immédiatement par une prière de délivrance. Malgré les manifestations, Jésus ne commence pas à prier pour l’enfant. Il continue de poser des questions.
Une chose est d’intervenir pour un mal, la seconde est pour mieux réussir cette intervention est de savoir pendant combien de temps le mal arrive au patient. En fonction du temps, le disciple saura comment régler avec Dieu ce problème.
Durée : Le patient souffre de ce mal depuis son enfance, d’après la réponse d’une personne fiable, le père de l’enfant. Rappelons-le, le père pouvait mentir à cause de la foule tout autour.
Le père est devant le Seigneur, le Docteur des docteurs. Il n’a pas besoin qu’on aille une deuxième fois dans les détails :
« et souvent l’esprit l’a jeté dans le feu et dans l’eau pour le faire périr. » verset 22.
Le fait que le père de l’enfant revient à nouveau sur les détails liés à la manifestation de l’esprit, agissant dans son fils, amènent à conclure qu’il est :
incrédule.
Il a donné trop d’importance et de pouvoir au mal de son fils et à l’esprit qui œuvre dans sa vie.
Il est atteint moralement (découragé), psychologiquement (ne croit plus en rien) et spirituellement (aveugle).
Nous avons dit dans le cadre de l’écoute que nous devons écouter les personnes qui parlent. Jusqu’ici les paroles du père ou ses propos étaient sans faute. Mais à partir du verset 23, ce qui était réellement dans son cœur sort finalement. Il est très important lors d’un rendez-vous que vous demandez à Dieu de toucher le cœur du patient, de l’incliner, de le changer, de dompter sa langue pour qu’il vous dise la vérité...
...A SUIVRE