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Passage biblique : Psaume 27 : 1-6
3. Notre confession de foi 3.
ation quelconque, nous serons remplis de la paix et de la joie au lieu de la crainte.
La Bible nous est donnée pour que nous y croyons pour la confesser non pas pour voir seulement. De même Dieu nous a donné la bouche non pas pour se quereller ni pour insulter les autres, mais pour louer et célébrer le Dieu. Si nous ne pouvons pas confesser notre foi, il vaut mieux chanter les louanges. Car elles sont la confession mélodique. Ayez courage ainsi dans la foi.
Moi, je confesse toujours la parole dans 1 Pierre 2 : 24 : «lui qui a porté lui-même nos péchés en son corps sur le bois, afin que morts aux péchés nous vivions pour la justice; lui par les meurtrissures duquel vous avez été guéris.» Avant la retraite, j’ai beaucoup voyagé dans le monde. Mais j’étais encore faible et je faisais face souvent aux difficultés car je ne pouvais pas être debout devant la foule. Mais chaque fois, je me disait plusieurs fois : « C’est par les meutrissures de Jésus duquel j’ai été guéri. C’est par les meutrissures de Jésus duquel j’ai été guéri. » Mais le diable s’adressait à moi : « Dis-le 100 fois mais cela ne servira à rien ! C’est la vaine parole ! » Moi, je lui répliquait : « C’est par les meutrissures de Jésus duquel j’ai été guéri. C’est la parole de Dieu. Qu’il me soit fait selon ma foi ! Tu n’as aucun lien avec moi ! Va-t’en ! C’est par les meutrissures de Jésus duquel j’ai été guéri. » Et j’avançais vers l’estrade. Même si les jambes se tremblaient, j’avançais : « J’y vais mon Dieu ! Allons-y ! » Maintenant, cela est devenu mon habitude de tous les jours.
Aujourd’hui même, avant de monter à l’estrade, j’ai dit : « Allons-y ! mon Seigneur ! » Comme je suis faible et je ne peux pas faire tout seul, je dis : « Seigneur, allons-y ! allons-y ! allons-y ! » Ainsi le Seigneur est avec moi. Si je ne dis pas : « Allons-y Seigneur ! », il n’est pas avec moi. Il faut le savoir. Par la parole de notre bouche, nous serons justifiés et nous serons condamnés. Car la mort et la vie sont au pouvoir de la langue. Quiconque l'aime en mangera les fruits. Combien de force a-t-elle la confession de la foi ? Le petit garçon David l’a emporté sur le géant Goliath par la dispute. Il n’avait ni l’épée ni la flèche. Mais il a remprté par la dispute. Le roi Saül et les soldats étaient tous armés mais ils ont été vaincus par la dispute. A la parole de Goliath, ils étaient saisis de frayeur et ils se sont enfuis. Quant à David, il n’avait pas de peur de lui. Il a remporté par la dispute. Comme Dieu est avec lui, il a remporté la victoire dans la dispute. De même vous aussi vous pouvez remporter la victoire par la dispute. Jour après jour, nous pouvons l’emporter sur le diable par la parole et la dispute. Si vous ne pouvez pas faire la dispute contre le diable, dites seulement : « Je t’aime Dieu ! Je t’amie Dieu, je t’aime Dieu ! » Car cette confession vous est utile.
D.L. Moody a décrit la vie de Moïse ainsi. Moïse a pensé qu’il était quelque chose pendant les premières 40 années. Car il était à la position du prince en tant que le fils de la princesse. Il était courageux devant le Pharaon. Mais un jour, il a tué un egyptien qui frappait les israéliens, le Pharaon a voulu le tuer. Il s’est enfuit dans le désert de Madian. Il s’est pris pour misérable. Il s’est pris pour un bâton sec. Il a pensé qu’il n’avait pas de compétence, ni de force et qu’il était abandonné. Pendant 40ans, il a dû faire paître le troupeau. Mais après avoir vu Dieu dans une flamme de feu, au milieu d'un buisson, il est devenu le leader des enfants d’Israël. La verge desséchée s’est transformée en puissance de Dieu. Voilà, Moïse est le même. Mais quand il a pensé qu’il était le meilleur, il a tué un homme et il s’est enfuit. Ensuite, il a su qu’il était comme une verge desséchée. Mais quand il a vu Dieu, il est devenu la puissance de Dieu. Alors nous devons savoir que notre source de la puissance est de renoncer à nous-mêmes et de nous confier en Dieu.
Mohandas Karamchand Gandhi a dit ainsi : « L’homme tout seul n’est rien. Mais s’il se confie en Dieu, il sera tout. » Nous-mêmes, nous sommes rien. Mais si nous nous confions en Dieu, nous ne sommes plus ordinaires. Moi, Yonngi Cho ne suis nul tout seul. Je suis plutôt l’homme de campagne. Mais à l’estrade, personne ne peut me résister car je suis l’homme de Dieu. Comme je compte sur Dieu. Vous changez souvent. Quand vous ne comptez pas sur Dieu, quand vous comptez peu sur Dieu, quand vous comptez beaucoup sur Dieu, et quand vous comptez complètement sur Dieu, tout est différent. Je vous prie de compter sur Dieu totalement pour que la puissance de Dieu abonde en vous.....