3. Notre identité (suite).
Il est dit dans 1 Pierre 2 : 9 : « Vous, au contraire, vous êtes une race élue, un sacerdoce royal, une nation sainte, un peuple acquis, afin que vous annonciez les vertus de celui qui vous a appelés des ténèbres à son admirable lumière, »
Nous sommes une race élue parmi beaucoup de nations. Nous sommes un sacerdoce royal donc nous régnons sur la situation et nous sommes sacrificateurs pour lui offrir le culte. Vous êtes le royaume des cieux. Vous êtes la nation sainte et le peuple acquis. « Il est ici, ou: Il est là. Car voici, le royaume de Dieu est au milieu de vous. » Le royaume de Dieu est déjà au milieu de nous. Mais nous n’en jouissons pas encore. Il faut savoir que nous sommes très précieux.
Il est dit dans 2 Corinthiens 6 : 9-10 : « comme inconnus, quoique bien connus; comme mourants, et voici nous vivons; comme châtiés, quoique non mis à mort; comme attristés, et nous sommes toujours joyeux; comme pauvres, et nous en enrichissons plusieurs; comme n'ayant rien, et nous possédons toutes choses. »
C’est nous. Comme inconnus, quoique bien connus. Nous sommes reconnus par Dieu donc nous sommes connus. La reconnaissance des gens ordinaires, à quoi ça sert ? Mais Dieu nous dit : « Mon fils, ma fille » ainsi nous sommes très connus. Il faut savoir notre valeur et nous devons la reconnaître. On se dit : « Même si je crois en Jésus, rien n’est changé dans la situation. » Mais non, ce n’est pas la situation qui se change mais c’est nous qui nous changeons.
Il est dit aussi dans 2 Corinthiens 4 : 8-9 : « Nous sommes pressés de toute manière, mais non réduits à l'extrémité; dans la détresse, mais non dans le désespoir; persécutés, mais non abandonnés; abattus, mais non perdus »
Comme ce n’est pas la situation qui est changée mais c’est nous qui sommes changés, même si nous sommes pressés de toute manière, nous ne sommes pas réduits à l’extrémité. Dans la détresse, auparavant, nous serions dans le désespoir mais nous n’y sommes plus. Même si nous sommes persécutés, nous ne sommes plus abandonnés. Nous sommes plutôt joyeux. Même si nous sommes abattus, nous ne sommes pas perdus. Car nous sommes changés. Il faut savoir que ce n’est pas la situation qui est changée mais que c’est nous qui sommes changés. En plus vous devez savoir cette parole dans 2 Corinthiens 4 : 10-11 : « portant toujours avec nous dans notre corps la mort de Jésus, afin que la vie de Jésus soit aussi manifestée dans notre corps. Car nous qui vivons, nous sommes sans cesse livrés à la mort à cause de Jésus, afin que la vie de Jésus soit aussi manifestée dans notre chair mortelle. »
Le fait que nous portons toujours la mort de Jésus avec nous dans notre corps est de nous identifier à la crucifixion de Jésus. Sa mort est la mienne. Sa résurrection est la mienne. Son ascention est la mienne. Il ne faut pas séparer Jésus de moi. Répétez après moi : « portant toujours avec nous dans notre corps la mort de Jésus, afin que la vie de Jésus soit aussi manifestée dans notre corps. » En regardant la croix de Jésus, il faut confesser qu’elle est la nôtre, ainsi sa résurrection est la nôtre. La foi en Jésus n’est pas donc théorique mais elle est une expérience. En regardant Jésus, je suis mort avec Jésus-Christ. Immédiatement, la vie de la résurrection de Jésus sera la mienne...
....A SUIVRE
MUSIQUE : JOY
ARTISTE : BLACK SOUL GOSPEL CHOIR