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PASTEUR DAVID YOGGHI CHO

 

Passage biblique : Esaïe 53 : 1-8

 

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IV. LA VIE DE LA REDEMPTION DE JESUS ET LE SENS DE LA SOUFFRANCE FIN.

 

Le peintre néerlandais très connu, Rembrandt a peint beaucoup d’ouvrages religieux. Parmi ses œuvres, il y a une peinture sur la mort de Jésus. Dans cette peinture, nous voyons la scène de la crucifixion de Jésus très vive : Jésus souffrant et Mari et les autres pleurant ou étant saisis de frayeur. Dans cet ouvrage, nous pouvons aussi trouver un homme portant un béret qui n’avait aucun lien avec les Juifs de cette époque-là. C’est Rembrandt lui-même. Il a dit ainsi :

« Sur la scène de la crucifixion de Jésus, j’étais aussi là-bas. J’ai regardé Jésus qui se mourait. Car il est mort à cause de moi. »

Quand il dessinait cette peinture, il a mis soi-même car même si le temps s’est écoulé, Jésus est mort pour lui. La mort de Jésus était la sienne. Répétez après moi, s’il vous plaît : « La mort de Jésus est la mienne, la résurrection de Jésus est la mienne, son royaume des cieux est le mien. Jésus et moi sommes inséparables. » Nous ne pouvons pas penser séparément à lui et à nous. Comme Rembrandt, nous étions à côté de lui. Il y a deux mille ans, à côté de la croix, vous étiez aussi là-bas. En votre nom, Jésus a été pendu à la croix. C’est la raison pour laquelle vous n’êtes pas séparables de Jésus. Pendant que Jésus a vécu dans ce monde, il a porté toutes nos iniquités sur son corps et il s’est chargé de nos douleurs. Mais par sa souffrance, nous sommes délivrés des péchés, des iniquités ainsi que nous avons la paix, la guérison et la santé. Par la rédemption de Jésus, nous prospérons à tous égards et sommes en bonne santé comme prospère l’état de notre âme.

Ensuite, il est dit que par ses meurtrissures, nous sommes guéris. Jésus a reçu des coups de fouet dans la cour de Ponce Pilate. A l’époque, on donnait les 40 coups de fouet moins un car si l’on frappait le criminel plus de 40, il serait mort. A cause des os ou du plomb aïgu, la chair était déchirée. Il n’a pas dû connaître cette souffrance. Car il n’a jamais commis des péchés. Mais il a connu ces meurtrissures à cause de nos péchés. Vous n’avez donc pas le droit d’attraper la maladie. Car Jésus a été frappé à votre place. Sa chair a été déchirée et ses os ont été brisés par les meurtrissures. Malgré cela, Jésus a enduré sa souffrance. Si nous portons la maladie encore, les meurtrissures de Jésus seront vaines. Pour ne pas néantir sa souffrance, il faut croire à cette parole. « Qu’il te soit fait selon ta foi ! » Jésus qui a reçu des coups de fouet il y a 2000ans est avec vous maintenant. En le voyant blessé, il faut nous dire : « Je vais être guéri. » Répétez après moi, s’il vous plaît : « C’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris. » Si vous attrapez la maladie maintenant, ce n’est que le corps qui la sent. Mais Dieu nous a promis : « C’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris. » Nous devons donc comprendre cette promesse, en rêver, y croire et la confesser de notre bouche. Ainsi, vous serez guéris.

Il est dit dans 1 Pierre 2 : 24 : « lui qui a porté lui-même nos péchés en son corps sur le bois, afin que morts aux péchés nous vivions pour la justice; lui par les meurtrissures duquel vous avez été guéris. »

Il est écrit dans Matthieu 8 : 16-17 : « Le soir, on amena auprès de Jésus plusieurs démoniaques. Il chassa les esprits par sa parole, et il guérit tous les malades »

Dans le ministère de Jésus, il a guéri « tous » les malades. La Bible ne nous dit pas qu’il y avait des exceptions. Mais il a guéri tous comprenant vous et moi.

« afin que s'accomplît ce qui avait été annoncé par Ésaïe, le prophète: Il a pris nos infirmités, et il s'est chargé de nos maladies. »

C’est pourquoi ce que nous les chrétiens sommes malades n’est pas du tout bon. Jésus a connu les meurtrissures avant d’être crucifié pour moi. Mais pourquoi moi qui crois en lui suis-je malade ? Cela n’a aucun sens. Jésus nous dirait : « Mais pourquoi es-tu encore malade ? J’ai été frappé et crucifié pour toi ! Lève-toi ! Pourquoi restes-tu encore dans la maladie ? » On dirait : « Je ne peux pas croire ! » Si nous ne pouvons pas croire, c’est vraiment dure.

Je me souviens d’un étudiant qui a attrapé un ulcère gastrique très grave lorsque l’on était à Seodaemoon. C’était pendant le culte de vendredi soir. Comme d’habitude, j’ai prié pour les malades. Cet étudiant de l’université de Yonsei était aussi dans le temple. Il était allé à l’hôpital très souvent et il avait reçu ma prière plusieurs fois. Cependant tout cela ne servait à rien. Ce jour-là, j’ai demandé aux fidèles de s’asseoir après la prière pour les malades. Se tenant debout, il s’est écrié : « Au nom de Jésus, je suis guéri ! Je suis purifié ce soir ! Je suis en forme ! Mais je ne peux pas y croire ! » Je n’oublie jamais son gémissement. Il a essayé de croire et pour cela, il s’est écrié. Mais nous ne croyons pas en nous-mêmes mais nous avons foi en Jésus. Nous avons foi en Dieu. Jésus ne ment pas et Dieu non plus. Nous ne croyons pas à notre propre foi mais en Dieu. Cet étudiant a été guéri de l’ulcère gastrique et il a étudié plus tard la théologie et il faisait son ministère à Pusan.

 

V. LE SENS GENERAL DE LA SOUFFRANCE A LA CROIX.

 

A SUIVRE....

 

TEMOIGNAGE CHRETIEN : ADOLESCENTE ELLE A ABANDONNE DIEU 

 

    

MUSIQUE AVEC 

ARTISTE:RICHARD PICOTIN 

 CHANT: PUR DEVANT LUI

  
 
 
SOYEZ TOUJOURS JOYEUX, PRIEZ SANS CESSE...1THESSALONICIENS 5, 16-17

 

RédactionPasteur Henri  K.

Tél 03 88 81 36 23 / (0033) 3 88 81 36 23

Mail: pasteurhenri7@hotmail.fr

Coordonnateur du MIDEGUE 

Directeur de l'Institut Biblique et Théologique Béthel (ITHEB) 

 

 

  FEU

MINISTERE MIDEGUE   

 

 

Tag(s) : #ENSEIGNEMENT
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