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William F. Kumuyi

 

 

 

William F. Kumuyi

 

 

Questions de la vie

L'entretien de Christ avec Pilate révèle les déclarations les plus remarquables d'une vie réussie.

Jean 18 : 37

37 Pilate lui dit : Tu es donc roi ? Jésus répondit : Tu le dis, je suis roi. Je suis né et je suis venu dans le monde pour rendre témoignage à la vérité. Quiconque est de la vérité  écoute ma voix.

 

Vous êtes-vous jamais arrêtée un instant pour vous poser les questions de première importance suivantes : Qui suis-je ? Qu'est-ce que je fais ici-bas? Et où irai-je après mon séjour dans ce monde ? Dans son unique déclaration, Jésus répondit à ces trois questions, avec la confiance d'un homme qui savait qu'il avait un rendez-vous à honorer devant Dieu. Jésus savait qu'il n'était pas né par accident. L'êtes-vous aussi ? Jésus savait que Sa vie entière devait accomplir l'objectif divin, la destinée divine, mais le savez-vous aussi ? Est-ce que vous remerciez Dieu de vous avoir fait tel que vous êtes ? Ou bien souhaiteriez-vous être une autre personne ? C'est pour cela que « Je suis né », dit Jésus (Jean 18:37). Dieu vous a créée en tant que femme, une créature unique avec une personnalité unique, ayant des potentialités pour des objectifs spécifiques.

En réalité, toute femme qui a pu mener une vie réussie en tant qu'une mère, un ministre, un missionnaire ou une gouvernante, a eu à répondre à ces trois questions. Pendant que la Reine Esther hésitait, le sort des milliers de Juifs en Babylone était en jeu. La question stimulante de Mardochée à son endroit à cette heure sombre était :

Esther 4 : 14

14 car, si tu te tais maintenant, le secours et la délivrance surgiront  d'autre part pour les Juifs, et toi et la maison de ton père vous périrez. Et qui sait si ce n'est pas pour un temps comme celui-ci que tu es parvenue à la royauté ?

 

 

La réponse instantanée qu'elle donna à cette question l'encouragea à poser des actes objectifs. Et la suite est une histoire glorieuse de délivrance pour les Juifs, son peuple.

Ida Scudder n'était qu'une adolescente, fille d'un missionnaire en Inde, lorsqu'elle a dû répondre à la question de la vie. Une nuit affreuse, elle vit comment les indiens s'approchaient l'un après l'autre de sa maison pour chercher son secours (non pas celui de son père, qui était un médecin) pour sauver la vie de leurs femmes mourantes. Chacun d'entre eux refusait le secours d'un homme à cause des tabous de leur culture. Seule dans sa chambre, Ida lutta avec la douleur, le chagrin et la conviction grandissante que si elle était un médecin, elle aurait pu faire quelque chose. « Mais je ne puis rien », disait Ida. « Rien ? Quand trois femmes sont en train de mourir à moins d'un kilomètre, par manque de femme médecin ? En plus d'autres millions ailleurs… » Elle lutta avec la voix de Dieu toute la nuit durant. Le lendemain matin elle envoya s'enquérir de l'état des trois jeunes femmes. Elles étaient toutes mortes ! Ida aurait aimé mourir aussi. Elle tomba à genoux devant Dieu, puis se releva et annonça à son père et à sa mère : « Je vais aux Etats-Unis pour étudier et devenir médecin, afin de pouvoir secourir les femmes indiennes à mon retour. » La conviction résonnait dans sa voix, ayant répondu à l'une des questions de la vie – l'objectif de son existence. Vers 1900, Dr. Ida Scudder retourna en Inde où elle vécut, servit et mourut âgée de plus de quatre-vingts ans. Vers la fin de sa vie très chargée, Dorothy Clarke Wilson l'interviewa dans le but d'écrire sa biographie. L'une des questions que lui posa Madame Wilson était la suivante : « En considérant tout ce qui s'est passé et la manière dont cela a commencé, ne ressentez-vous pas une grande satisfaction ? » « Oh oui, oui », répondit Ida avec ferveur. « Dieu a été très bon envers moi. Dieu m'a appelée et Il sait mieux que quiconque là où une vie peut être utilement passée. » Réfléchissez-y : Dieu sait mieux que quiconque comment et où vous devez passer votre vie.

Mary Crowley perdit son boulot parce que ses croyances chrétiennes étaient en opposition avec celles de ses employeurs. C'était en 1957 au temps de la Grande Dépression. Après le choc initial, elle se leva, armée simplement de la foi et d'une grande détermination pour commencer sa propre société dans laquelle, disait-elle : « Je pouvais établir les principes que je veux défendre ». Elle fit en fin de compte des millions de dollar de recette et avait un personnel de quelques milliers d'employés. Par-dessus tout, elle ne mettait jamais sa gloire ni dans la richesse ni dans la sagesse mais dans la connaissance de Christ comme son Seigneur et Sauveur. Ses paroles à l'adresse de femmes telles que vous sont très inspirées: « Considérez-vous comme une femme à succès, comme une reine. Rejetez toute pensée vous faisant croire que vous êtes limitée. Considérez-vous comme ouvrière avec Dieu. Espérez de grandes choses et oeuvrez pour leur réalisation… Ayez le désir de faire quelque chose et de vous faire un nom. Ces mots peuvent changer votre vie : « Si cela doit se faire, cela dépend de moi ».

 

 

 

 

 

Tag(s) : #ENSEIGNEMENT
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