La sœur Frieda est une pauvre commerçante de poissons fumés. Elle a été enseignée sur la Dîme qu’elle donne de façon régulière et fidèle. Un dimanche, sa communauté reçue la visite de serviteurs de Dieu venant des Etats-Unis. Lors des offrandes et des dîmes ce jour-là, elle déposa dans le panier des offrandes et des dîmes sa dîme mensuel.
II-LA DÎME, UNE INSTITUTION DIVINE : UN DON INSTITUE PAR DIEU SUITE
3 b- Donner la Dîme, c’est donner la Dîme de tout.
Témoignage : Une pauvre commerçante de poissons fumés.
La sœur Frieda est une pauvre commerçante de poissons fumés. Elle a été enseignée sur la Dîme qu’elle donne de façon régulière et fidèle. Un dimanche, sa communauté reçue la visite de serviteurs de Dieu venant des Etats-Unis. Lors des offrandes et des dîmes ce jour-là, elle déposa dans le panier des offrandes et des dîmes sa dîme mensuel. L’un des serviteurs de Dieu américain Thomas présent de l’autel fut attiré par cette femme modeste qui déposait une grande enveloppe dans le tronc. Il demanda à son collègue Jean qui est le pasteur hôte de la communauté qui était cette femme. Ce dernier loua la fidélité de la sœur Frieda dans le payement de la Dîme malgré son petit commerce et son insuffisance de moyens pour augmenter son capital. Thomas de retour à Boston aux Etats-Unis parla de la sœur Frieda à la congrégation dont il est le pasteur et de son amour pour Dieu. Les chrétiens de Boston prirent la décision de bénir cette femme. Il en informa le Pasteur Jean qui accueillie la nouvelle avec une grande joie. Le jour venu le pasteur Thomas vint dans ce pays d’Afrique avec une délégation de son Eglise. Le pasteur Jean était informé de leur date d’arrivée. Le jour venu, le Pasteur Thomas téléphona au pasteur Jean en lui demandant de la rejoindre au port avec la sœur Frieda à un embarcadère bien précis. Le pasteur Jean rendit visite à la sœur Frieda. Il l’invita à le suivre au Port de leur ville. Arrivés, à l’embarcadère dit, le pasteur Thomas les accueillit avec toute sa délégation. Il tendit une clé à la sœur Frieda en lui disant : « voici la clé de ton Bateau de pêche. Nous avons été touchés de ton amour pour Dieu. L’Eternel nous a mis à cœur de bénir ta vie professionnelle. La communauté dont je suis le pasteur aux Etats-Unis a approuvé ce projet qui devient pour vous une réalité. »
c- La Dîme et le droit de Parole et de Regard
Il est dommage de constater que certains dans l’Eglise convoitent la Dîme adressées aux Serviteurs de Dieu, que d’autres sont devenus serviteurs de Dieu pour cela et d’autres encore veulent savoir la destination sur la Dîme en cherchant à savoir où elle va voir qu’elle est son utilisation. Plusieurs sont de ceux-là qui disent que c’est grâce à leur dîme que leurs hommes et les femmes de Dieu s’habillent, qu’ils sont riches et riches grâce à eux et à leur argent. De nouveau arrête de pécher par ta langue et de parler des choses que tu ne connais pas. En vérité, en vérité : la dîme ne t’appartient pas et de plus ni ton or ni ton argent car l’or et l’argent appartiennent aussi à Dieu. Dans le livre de 2CHRONIQUES 31, 9-11, l’on ne voit pas des gens du peuple de Dieu venir s’enquérir sur la finalité de la dîme, pas de leur dîme, car la dîme est la propriété de Dieu qui seul a un droit de regard et de parole avec ses Serviteurs : « 9 Ézéchias interrogea les sacrificateurs et les Lévites au sujet de ces tas. 10 Alors le souverain sacrificateur Azariahou, de la maison de Tsadoq, lui répondit : Depuis qu’on a commencé d’apporter le prélèvement dans la maison de l’Éternel, il y a eu de quoi manger et se rassasier, tout en laissant un surplus considérable, car l’Éternel a béni son peuple ; quant au surplus, c’est cet amoncellement que voici. 11Ézéchias ordonna de préparer des chambres dans la maison de l’Éternel ; et on les prépara. »
...La suite dans le Livre du Docteur Henri KPODAHI, La Dîme et les Offrandes selon les Ecritures, au prix de 20 euros. Pour commander écrivez-nous