n LA CONFESSION DES PECHES ANCESTRAUX
La parole de Dieu regorge de passages bibliques où les croyants dans le jeûne se sont tournés vers Dieu pour obtenir le pardon de leurs propres péchés et le pardon des péchés de leurs ancêtres (leurs pères). Une démarche indispensable qui a rendu possible la clémence de leur entourage ou d’autorité. Elle a été indispensable pour l’obtention de la faveur de Dieu et pour la délivrance manifestée par la fin de la captivité et de l’exil babyloniens.
Nous citons les textes de Néhémie 1, 1ss et de Daniel 9, 1ss où les deux serviteurs de Dieu ont demandé le pardon de leurs fautes et de celui de leurs pères sans oublier tous ceux de leur nation y compris les autorités, les rois, les chefs.
Bien-aimés certaines délivrances passent par la confession des péchés des pères. Cela demeure la seule possibilité dans les situations de captivité qui dure des années. Le chrétien qui se tourne dans le jeûne et la prière n’oubliera pas de demander pardon pour le péché des pères. Il fera une confession au nom de ceux de sa nation, de sa langue, de sa race ou de son groupe ethnique. Il n’oubliera pas les différents chefs et toutes les autorités qui ont dirigés son groupe et sa nation.
Le but est d’obtenir la faveur de Dieu face à des abominations qui œuvrent depuis des millénaires et qui sont à l’origine de la première captivité de ceux de sa famille et de malédictions dans le cadre de 4 générations. Il est donc mieux de remonter à la source première des choses au lieu de résoudre ces conséquences.
n METTRE FIN AUX MALEDICTIONS
Du terme hébreu la malédiction est le faire parler mal contre une personne ou de dire du mal d’elle. La profondeur du mot « parler ou dire » implique automatiquement une action. Ainsi le seul fait de souhaiter du mal d’une personne dans son cœur ou dans ses pensées est une façon de formuler contre elle une malédiction. La malédiction ici est passive. Elle est active lorsque celui qui maudit appelle la malédiction sur son prochain, sur sa vie, sur un domaine précis de sa vie ou sur ses biens ou sur sa vie de prière et ses exaucements. Dès lors la personne qui maudit, un esprit démoniaque ou une personne prononce des paroles de destruction ou des imprécations contre l’autre.
A chaque offense humaine est attachée une malédiction dont le but est de d’accomplir une parole, une promesse ou d’exercer un certain pouvoir pour qu’elle se réalise. Le malheur est associé à toute malédiction. Des gestes quelquefois accompagnent une malédiction pour la délimiter, la renforcer et l’enterrer.
De même, se trouve aussi associé à la malédiction des esprits de cette malédiction, des esprits protecteurs de la malédiction et des esprits chargés de l’accomplissement de cette malédiction quelques soient le lieu ou le temps. La malédiction est donc au nom de puissances, de dieux ou de divinités, de personnes décédées ou vivantes. Cf. 1Samule 17, 43 ; ces entités humaines ou spirituelles deviennent des garants de la malédiction prononcée ou celle libérée.
Tout individu maudit devient elle-même une malédiction pour son entourage et pour sa maison, sa famille, son groupe et sa nation. Cf. Josué 6 et 7, l’histoire d’Akan.
Il existe des personnes ou des esprits qui prononcent des malédictions contre une personne et ses descendants. L’on comprend pourquoi Dieu a prononcé une malédiction contre ceux qui maudiraient Abraham et ses descendants. Cf. Genèse 12, 3…..
N.B Dans la rubrique ENSEIGNEMENTS Audio-video du site Videolouanges, un lien du Site MIDEGUE ou sur Facebook,un Enseignement AUDIO tous les jeudis et les lundis extrait des cultes du Dimanche et du Mercredi et du Séminaire de Délivrance et Guérison

