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ID002012  DOCTEUR PASTEUR HENRI KPODAHI                  

CHAPITRE I

II- LES IMPLICATIONS NEES DE LA DEFINITION D’UNE MALEDICTION

 

La définition d’une  malédiction porte en elle des implications. Ces dernières sont dangereuses premièrement contre celui qui prononce une malédiction et deuxièmement contre l’individu visé par ladite malédiction. 

 

A- L’ABSENCE DE PROTECTION DIVINE ET L’ODEUR DE LA MALEDICTION.

Une malédiction prive sa victime de toute protection de la part de l’Éternel. La personne ciblée  subit les répercussions de cette malédiction qui la couvrent et qui empêchent la bénédiction et tout ce qui contribue à le protéger d’être son partage. Dès lors, la  malédiction rend l’individu impur, sale, impropre. Elle peut être une odeur spirituelle attachée à la victime.

 

B- FAIRE D’UN HOMME UN SERVITEUR, D’UN ENFANT UN SERVITEUR OU D’UNE FEMME UNE SERVANTE

 La subtilité d’une malédiction c’est de faire d’un homme, d’une femme, d’un enfant un serviteur d’une puissance et d’une principauté en occurrence.

Le serviteur est un ou une esclave. Il est assujetti à un maître ou à des maîtres qui ont le droit de disposer de sa personne, de son corps, de ses biens et même de sa vie dans certains cas. Or tout esclave est dénué de droits aux yeux de la loi : du droit à la vie, à celui de l’honneur et de la vie de famille dans plusieurs cas.

Le serviteur s’occupe du travail de la terre, de l’entretien et du fonctionnement des exploitations rurales. Il œuvre aux champs, dans les cités, à la maison, à la ferme, sur la mer : en participant aux récoltes, au travail de la laine ou au tissage, à la préparation des céréales et de la pâte, à la cuisine, au bain, aux services de table. Avec sa nouvelle identité due à la malédiction, il est un valet, un agriculteur ou un batteur, un vanneur, un sarcleur, un intendant, un chef de culture, un régisseur, un surveillant, un boulanger, un artisan, un cuisinier, un marin, un domestique ou un charpentier.

Son maître, qui est un roi ou une reine, enseigne d’abord, au serviteur, l’économie domestique, à se montrer dévoué à lui et à sa maison. Il le forme à cet effet et lui apprend aussi à prendre soin de ses affaires. Le maître devient, dans cette politique, un modèle pour le serviteur. Sa reconnaissance n’en était pas. Il châtiait la négligence. Il le guidait sur la voie d’une « pseudo-justice » et il le punissait en cas de décision dans le but de s’affranchir : des chaînes et la prison en représailles pour certains et même  de fortes représailles comme de grandes difficultés et la mort pour les autres....A SUIVRE

 

MUSIQUE
ARTISTE: MARIE M. 
 
 CHANT: EH YAWHE                                                   
SOYEZ TOUJOURS JOYEUX,PRIEZ SANS CESSE..1THESSALONICIENS 5, 16-17
Rédaction :Docteur Pasteur Henri KPODAHI.
 
Tag(s) : #ENSEIGNEMENT
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